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COMMUNIQUE DE PRESSE 29 04 2020

COMMUNIQUE DE PRESSE

 

La France vit une grave crise sanitaire inédite. Notre pays a besoin de tous ses médecins afin de faire front à la pandémie en cours.

Le Syndicat National des Médecins Homéopathes Français -SNMHF- rappelle, qu’à l’instar de tous leurs confrères, les médecins à orientation homéopathie sont mobilisés. Ils sont à la disposition de leurs patients par tous les moyens de consultation présentielle ou à distance prise en charge à 100% par l'Assurance Maladie. L’accès des patients à leurs médecins durant cette période exceptionnelle liée au Covid-19 est ainsi assuré.   Ils recommandent à leurs patients de respecter les consignes de confinement maximum, de gestes barrières et de distanciations sociales. Le SNMHF a aidé ses confrères, tant au niveau de la gestion de leur cabinet pour garantir un accès sécurisé pour les consultations présentielles, que pour les aider à la mise en place des téléconsultations.

En l’absence, aujourd’hui, d’un traitement efficace éprouvé et validé dans le cadre de cette pandémie, le SNMHF communiquera sur les possibilités et indications  thérapeutiques de l’homéopathie dans la prise en charge symptomatique et individualisée des patients, en respectant leurs devoirs de médecins.

 

Contacts :

Dr Charles Bentz, président du SNMHF, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser., tél. 06 07 64 64 01

Dr Dominique Jeulin-Flamme, vice-présidente, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser., tél. 06 16 55 66 15

 

A propos du SNMHF

Le Syndicat national des médecins homéopathes français rassemble les médecins libéraux qui considèrent que l’homéopathie apporte une réponse thérapeutique à la plupart des pathologies, en alternative ou en complémentarité des autres techniques médicales, auxquelles elle ne s’oppose pas. Il a pour objet la défense des intérêts matériels et moraux de ses membres, tant sur le plan individuel que sur le plan collectif. Il milite pour une médecine libérale humaniste et considère que les médecins homéopathes ont toute leur place dans le système de santé dont nos concitoyens ont besoin.

www.snmhf.net

 

 

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COMMUNIQUE DE PRESSE - 20 MAI 2019

Le SNMHF déplore les irrégularités entachant l’évaluation du bénéfice médical de l’homéopathie par la Haute Autorité de Santé

 

Le SNMHF (Syndicat national des médecins homéopathes français) se déclare extrêmement préoccupé par les irrégularités survenues la semaine passée dans la procédure d'évaluation du bénéfice médical rendu par les médicaments homéopathiques. Dès le 14 mai, des médias ont pu informer le public de la teneur de l'"avis confidentiel" de la Haute Autorité de Santé (HAS), alors que ses seuls destinataires, les laboratoires pharmaceutiques, n'ont reçu cet avis que le jeudi 16.

Le SNMHF constate que depuis un an, tout semble orchestré pour que la décision de déremboursement soit prise après un simulacre d'évaluation dont nous dénonçons la méthode :

-          absence de tout expert de l'homéopathie et de prise en compte des spécificités de l'homéopathie dans cette évaluation au sein de la commission de la HAS ;

-          attaques portant sur la supposée "dangerosité du médicament homéopathique" dénuées de tout fondement ;

-          prises de position de plus en plus ouvertement favorable au déremboursement de la part de Mme Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, qui n'a jamais accepté de rencontrer les médecins porte-parole de l'homéopathie.

Ce climat délétère affecte aujourd'hui la pratique des médecins homéopathes, déconcerte les patients et déstabilise les milliers de salariés des laboratoires concernés, à tel point que plusieurs responsables politiques de premier plan font entendre leur voix pour que l'administration, puis le gouvernement, ne prennent pas de décision qui irait à l'encontre des intérêts de santé publique et tournerait le dos à la médecine intégrative, voie d'avenir vers laquelle de nombreux médecins, professionnels de santé et patients veulent évoluer.

Le Syndicat national des médecins homéopathes français recommande aux 74 % de Français attachés à la thérapeutique homéopathique de se manifester en signant la pétition #MonHomeoMonChoix.fr, qui a déjà recueilli près de 500 000 signatures à ce jour.

www.monhomeomonchoix.fr

 

Voir le communiqué

 

 

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COMMUNIQUE DE PRESSE - 13 MAI 2019

 

     

 Oui les homéopathes vaccinent leurs patients !

 

Une récente émission diffusée le 9 mai sur France 2, Envoyé Spécial, a montré le retour de la rougeole, ce retour suscitant à juste titre l’inquiétude des autorités de santé. Dans ce contexte, les médecins homéopathes tiennent à réaffirmer qu’il n’existe aucune ambigüité sur la vaccination dans leur pratique médicale. Le Syndicat national des médecins homéopathes français rappelle que la pratique homéopathique ne doit jamais être présentée comme une alternative à la vaccination. Les obligations légales vaccinales doivent être respectées par les médecins homéopathes. Ces derniers doivent expliquer à leurs patients que le traitement homéopathique ne peut pas être considéré comme une vaccination.

Il est donc totalement injustifié que la pratique médicale homéopathique soit montrée du doigt dans le débat en cours sur la trop faible couverture vaccinale dans notre pays. Rien ne peut la relier avec le recours à l’homéopathie.

Le SNMHF dénoncera donc toute tentative désignant la pratique homéopathique comme étant à l’origine de ce problème majeur de santé publique. Il s’agit d’un sujet trop grave pour laisser planer le moindre doute sur l’intégrité et le professionnalisme des médecins homéopathes.

Références :

SNMHF - « Le faux certificat de vaccination, un acte répréhensible », communiqué de presse du 29 février 2016

BAGOT J.L et coll., « Aucun médicament homéopathique ne peut être considéré comme un vaccin », La Revue d’homéopathie, 2017.01.020

 

Voir le communiqué

 

 

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COMMUNIQUE DE PRESSE - 29 AVRIL 2019

Du particularisme de l’évaluation du médicament homéopathique

Dans l’édition de Paris Match du 25 avril 2019, Madame la ministre de la Solidarité et de la Santé, Agnès Buzyn est interviewée sur les « fake news médicales ». A la question « Et que penser de l’homéopathie », la ministre répond par une violente charge contre cette thérapeutique*.

Le SNMHF (Syndicat national des médecins homéopathes français)se déclare surpris par ces propos, qui surviennent au moment où la ministre a elle-même chargée la Haute Autorité de Santé d’une évaluation de cette thérapeutique. Le SNMHF relève notamment que sa réponse reprend sans nuance les arguments caricaturaux des organisations qui ont orchestré la lutte contre l’homéopathie, au mépris des pratiques médicales comme des attentes des Français en termes de diversité de l’offre de soins.

Le SNMHF rappelle qu’il a sollicité un rendez-vous avec la ministre, dès le début de cette crise, mais qu’elle n’a à ce jour pas accepté de recevoir ses dirigeants. Cette prise de position dans un média de grande diffusion conduit le SNMHF à renouveler cette demande et à espérer être cette fois entendu afin d’avoir avec la ministre un réel dialogue sur la place de l’homéopathie dans la pratique médicale aujourd’hui.

 

Voir le communiqué

 

 

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COMMUNIQUE DE PRESSE - 11 JANVIER 2019

     

Homéopathie : pour une sérénité des débats

 

Chargée par le ministère de la santé d’évaluer l’utilité de maintenir le remboursement des médicaments homéopathiques, la Haute Autorité de Santé (HAS) a déclaré pouvoir rendre son avis au printemps 2019.

Le SNMHF regrette que certaines instances mettent à profit cette période pour exercer des pressions sur cette autorité, plutôt que de contribuer à un débat dépassionné qui tienne compte des pratiques médicales et de la liberté de choix des patients.

À cet égard, et contrairement à ce qui a trop souvent été écrit, le SNMHF n’a pas poursuivi les signataires de la tribune publiée en 2018 par Le Figaro (19 mars 2018) en raison de leur opposition à l’homéopathie. Cette plainte était justifiée par les propos à caractère anti-déontologiques de ce texte. Les auteurs ont déconsidéré la profession, appelant l’Ordre des médecins et les pouvoirs publics à interdire aux médecins homéopathes de continuer à faire valoir leur titre de médecin ainsi qu’à faire disparaître l’homéopathie du champ de la médecine.

Le SNMHF invite les différents acteurs professionnels de la santé à éviter toute division que les Français ne cautionnent pas.

Pour les médecins homéopathes, l’efficacité reconnue par les utilisateurs (patients et médecins), l’existence d’études cliniques réalisées conformément aux règles de prescription des médicaments homéopathiques, montrent l’intérêt de cette thérapeutique dont le mécanisme d’action reste encore méconnu en raison des hautes dilutions inframoléculaires (et donc aussi infratoxiques) utilisées.


Voir le communiqué

 

 

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COMMUNIQUE DE PRESSE - 3 SEPTEMBRE 2018

      Suspension des cours d’homéopathie à la Faculté de Médecine de Lille : une « chasse aux sorcières » qui tourne le dos à la pratique d’une médecine intégrative et réconciliée

La Faculté de Médecine de Lille vient de décider de suspendre son Diplôme d’Université d’homéopathie pour l’année universitaire débutante dans l’attente de la position de la Haute Autorité de Santé sur le remboursement des traitements homéopathiques.

Le SNMHF (Syndicat national des médecins homéopathes français) regrette cette décision, annoncée par tweet, qui survient alors que ce diplôme existe depuis une trentaine d’années.

Le SNMHF relève que les responsables de cet enseignement n’ont été ni consultés, ni même informés.

Alors que des milliers de médecins et des millions de Français sont attachés à la place de l’homéopathie au sein de notre système de soins, le SNMHF dénonce l’esprit de « chasse aux sorcières » qui se met insidieusement en place et qui tourne le dos à la vision d’une médecine intégrative et réconciliée, telle que la pratiquent les médecins homéopathes dans notre pays.

Voir le communiqué

 

Pour le maintien de l'enseignement universitaire de l'homéopathie

Signer la pétition <https://www.mesopinions.com/petition/sante/maintien-enseignement-universitaire-homeopathie/48461>

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COMMUNIQUE DE PRESSE - 31 JUILLET 2018

       Du particularisme de l’évaluation du médicament homéopathique

 

Le SNMHF (Syndicat national des médecins homéopathes français), demande à être associé à la réflexion sur la méthodologie appropriée à l’évaluation des médicaments homéopathiques demandée par Madame la ministre de la Solidarité et de la Santé, Agnès Buzyn.

Actuellement la Haute Autorité de Santé évalue les médicaments, et en particulier le service médical rendu, par classe thérapeutique. Or dans la pratique homéopathique, le médicament est généralement prescrit sur un ensemble de symptômes très différents et répond donc à de nombreuses « classes thérapeutiques ». Le médicament Arnica montana, par exemple, peut être indiqué et prescrit aussi bien en infectiologie que dans les états dépressifs, pour les troubles du sommeil ou encore en cardiologie. Le service médical rendu ressort ainsi de différentes classes thérapeutiques.

De même, le médecin choisit la hauteur de dilution d’un médicament homéopathique (par exemple : 5 CH, 9 CH, 30 CH) en fonction des symptômes observés et de l’effet attendu. Plusieurs études en attestent, notamment la série d’expériences effectuées sur l’activité de l’aspirine à dose ultra faible sur l’interaction plaquette-paroi vasculaire (1) . 

Ce particularisme rend spécifique l’évaluation du médicament homéopathique. C’est pourquoi le SNMHF demande la détermination d’une méthodologie d’évaluation correspondant à la méthode thérapeutique homéopathique, afin de mesurer son efficacité et le niveau de service rendu aux patients.  Le SNMHF entend être partenaire, au même titre que tous les acteurs pressentis sur la base de leur compétence dans ce domaine d'expertise, pour élaborer et conduire les travaux d'évaluation.

 (1) Doutremepuich C et coll. Template bleeding time after ingestion of ultra low dosages of acetyl salicylic acid in healthy subjects : preliminary study. Thrombosis Research 1987, 48, p.501-504

Voir le communiqué

 

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COMMUNIQUE DE PRESSE - 21 JUIN 2018

Les médecins homéopathes exercent leur profession

dans le respect des règles du code de déontologie médicale

Le Conseil de l’Ordre des Médecins (CNOM) a exprimé une position sur l’exercice médical de l’homéopathie, au cours d’une conférence de presse le mardi 19 juin.

Le Syndicat National des Médecins Homéopathes Français tient à rappeler que ses membres ont répondu aux critères du CNOM pour devenir spécialistes en médecine générale ou en toute autre spécialité. Ils exercent la médecine dans le respect des règles du code de déontologie médicale. Le médecin homéopathe est intégré dans l'organisation du système de soins français, en particulier dans le parcours de soins coordonné et dans le développement professionnel continu.

Le SNMHF rappelle que de nombreuses publications scientifiques dans des revues référencées, à comité de lecture montrent que l’homéopathie a un effet supérieur au placebo, contrairement à ce que la campagne de désinformation actuelle voudrait faire croire aux Français. LIRE LA SUITE

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COMMUNIQUE DE PRESSE - 19 MARS 2018

La médecine a besoin de tous les médecins

 

Dans son édition du 19 mars 2018, Le Figaro fait paraître une tribune signée de 124 médecins et professionnels de la santé. Ce texte stigmatise les médecins qui recourent à différentes thérapeutiques qualifiées de « médecines alternatives » et de « fake médecines », les accusant de faire des « promesses fantaisistes » à leurs patients. Les signataires pointent tout particulièrement le recours à l’homéopathie.

Selon cette prise de position, plusieurs milliers de médecins se seraient délibérément détournés de leur formation scientifique et de l’éthique de leur exercice pour verser dans la « pseudo-médecine ».

Depuis 1932, le Syndicat national des médecins homéopathes français a si souvent répondu aux arguments médicaux, scientifiques et réglementaires avancés par les adversaires de l’homéopathie qu’il est devenu inutile de le faire[1].

Ce qui est plus marquant cette fois, c’est que les 124 signataires paraissent ignorer que des milliers de leurs confrères utilisant l’homéopathie sont tout aussi compétents qu’eux en matière de diagnostic et de prescription médicale, aussi bienveillants envers leurs patients et aussi conscients des limites de leur exercice.

Si l’on ne se crispe pas sur la nature diffamatoire de cette attaque, la meilleure attitude pour faire progresser le débat est de nous questionner ensemble : pourquoi notre pratique, dérange-t-elle aussi fortement ceux qui veulent lui dénier toute valeur, voire dénoncer sa « dangerosité », jusqu’à exiger que les médecins et professionnels de santé qui l’utilisent ne puissent plus faire état de leur titre professionnel ?

Nous rappellerons seulement quelques faits décidément têtus :

       - l’homéopathie donne satisfaction à des millions de patients en France, bien plus encore dans le monde ;

        - le nombre de prescripteurs, témoins des résultats au quotidien et tout au long de leur carrière, atteste que l'homéopathie s’avère particulièrement utile dans une démarche préventive et pour les traitements des maladies chroniques, l’une et l’autre étant des priorités de santé publique[2] ;

       - le caractère économique de la pratique des médecins homéopathes, l’absence de prise de risques, ont été rigoureusement démontrés lors d’une vaste étude pharmaco-épidémiologique dirigée par des scientifiques de renom et publiée dans des revues médicales internationales, qu’aucun « expert » n’a critiquée[3].

Dès lors, quel est l’intérêt d’éviter que les futurs médecins apprennent l’homéopathie, que sa prescription soit utilisée en première intention pour de nombreuses pathologies rencontrées en médecine de ville ? Pourquoi priver notre pays, surendetté et surconsommateur de médicaments, d’économies pour la collectivité et de bienfaits pour la santé des populations ?

Notre conviction est qu’il n’existe qu’une seule médecine : elle repose sur la fiabilité d’un diagnostic qui indique la stratégie thérapeutique à mettre en œuvre dans le respect du patient. La médecine a besoin de tous les médecins !

Contact presse

Dr Charles BENTZ, président du SNMHF : 06 07 64 64 01

Jean REMY, Intelligible : 06 75 91 38 15, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

A propos du SNMHF

Le Syndicat national des médecins homéopathes français rassemble les médecins libéraux qui considèrent que l’homéopathie apporte une réponse thérapeutique à la plupart des pathologies, en alternative ou en complémentarité des autres techniques médicales, auxquelles elle ne s’oppose pas. Il a pour objet la défense des intérêts matériels et moraux de ses membres, tant sur le plan individuel que sur le plan collectif. Il milite pour une médecine libérale humaniste et considère que les médecins homéopathes ont toute leur place dans le système de santé dont nos concitoyens ont besoin.

www.snmhf.net

 


[1] Dossier de presse SNMHF, Le Syndicat national des médecins homéopathes français répond au rapport de l’European Academies Science Advisory Council, 6 octobre 2017.

[2] Stratégie de transformation du système de santé, dossier de presse du ministère des Solidarités et de la Santé, vendredi 9 mars 2018.

[3] L’étude pharmaco-épidémiologique EPI 3 réalisée en France (2012) compare l’évolution de l’état de santé de plus de 8000 patients suivis pendant un an par 900 médecins, répartis en 3 groupes, souffrant de pathologies les plus fréquemment rencontrées en médecine générale, choisies par un comité scientifique présidé par le Pr Bernard Bégaud (INSERM) : troubles anxiodépressifs, troubles musculosquelettiques et infections des voies aériennes. Ces patients ont été traités par des médecins homéopathes ou non : leur suivi sur un an a montré qu’il n’existait aucune différence significative entre les deux populations de malades, tant en termes de gravité de leur pathologie lors de la prise en charge que de résultats, quelle que soit la thérapeutique utilisée…. Avec un élément non négligeable pour la santé publique : l’absence de iatrogénie et l’absence de « perte de chance » pour les patients traités par l’homéopathie.

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COMMUNIQUE DE PRESSE - 6 OCTOBRE 2017

Le Syndicat national des médecins homéopathes français répond au rapport de l’European Academies Science Advisory Council

 

Dans un avis récent, le European Academies Science Advisory Council (EASAC) dénonce l’absence de preuves de l'efficacité des médicaments homéopathiques[1] et jette le discrédit sur l’ensemble de la pratique homéopathique. Cette conclusion repose d’abord sur une sélection parfaitement contestable des recherches existantes, puis sur des assertions fausses relatives à la sécurité du médicament comme à la pratique médicale.

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COMMUNIQUE DE PRESSE - 12 JUILLET 2017

Nouvelles obligations vaccinales : le point de vue du SNMHF

Alors que la Ministre de la Santé annonce une loi rendant obligatoire la vaccination contre 11 maladies pour tous les nourrissons français âgés de moins de deux ans, le Syndicat national des médecins homéopathes français (SNMHF) tient à exprimer sa position :
-    Le SNMHF ne se situe pas dans une attitude d’opposition à la vaccination.
-    Le SNMHF souhaite rappeler qu’une autre option était possible : la liberté de choix de la vaccination, comme dans la majorité des pays européens, qui aurait permis aux médecins de faire de la pédagogie auprès de leurs patients et de s’adapter à chaque situation sans créer d’opposition de principe. Ce choix aurait eu la préférence de notre syndicat.

Madame la Ministre préconise une évaluation annuelle de l’efficacité des vaccins. Nous demandons que cette évaluation comporte également celle des effets indésirables qui seront recueillis et déclarés par les médecins dans le cadre de la pharmacovigilance.

Le SNMHF s’inquiète également de la responsabilité des praticiens dans le cadre de la survenue d’effets indésirables graves après vaccination obligatoire. Le rapport de la Commission présidée par le Pr Alain Fisher préconisait d’ailleurs la création d’un office national d’indemnisation. Cette proposition est-elle retenue et quelle en sera la source de financement ?

Contacts presse :

Dr Charles BENTZ, président du SNMHF, Charles BENTZ, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser., tél. 06 07 64 64 01

Relations presse p/o SNMHF : Jean REMY, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser., tél. 06 75 91 38 15

A propos du SNMHF

Le Syndicat national des médecins homéopathes français rassemble les médecins libéraux qui considèrent que l’homéopathie apporte une réponse thérapeutique à la plupart des pathologies, en alternative ou en complémentarité des autres techniques médicales, auxquelles elle ne s’oppose pas. Il a pour objet la défense des intérêts matériels et moraux de ses membres, tant sur le plan individuel que sur le plan collectif. Il milite pour une médecine libérale humaniste et considère que les médecins homéopathes ont toute leur place dans le système de santé dont nos concitoyens ont besoin.

www.snmhf.net

 

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COMMUNIQUE DE PRESSE - 29 FEVRIER 2016

Le SNMHF, Syndicat national des médecins homéopathes français, réagit avec force à la suite de l'émission "Complément d'enquête", diffusée le 25 février 2016 sur France 2, mettant en cause un praticien se disant homéopathe              

 "Complément d'enquête" (France 2, 25 février) : le faux certificat de vaccination, un  acte répréhensible


Communiqué de presse - 29 février 2016

On y voit ce médecin, filmé en caméra cachée, établir un faux certificat de vaccination : cet acte est réprimé par le code de déontologie médicale et par la loi qui s'appliquent à tout médecin, quelle que soit son expertise, la vaccination étant, en France, une obligation légale.

Les explications données, en commentaire de la prescription d’un “vaccin homéopathique”, ne correspondent à aucune pratique validée.

Contacts presse :

Dr Charles BENTZ, président du SNMHF : 06 07 64 64 01

Jean REMY, Intelligible : 06 75 91 38 15, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

A propos du SNMHF

Le Syndicat national des médecins homéopathes français rassemble les médecins libéraux qui considèrent que l’homéopathie apporte une réponse thérapeutique à la plupart des pathologies, en alternative ou en complémentarité des autres techniques médicales, auxquelles elle ne s’oppose pas. Il a pour objet la défense des intérêts matériels et moraux de ses membres, tant sur le plan individuel que sur le plan collectif. Il milite pour une médecine libérale humaniste et considère que les médecins homéopathes ont toute leur place dans le système de santé dont nos concitoyens ont besoin.

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COMMUNIQUE DE PRESSE - 23 juin 2015

                                         

AFFAIRE CPAM HERAULT / MEDECINS HOMEOPATHES
VIGILANCE - REACTIVITE - EFFICACITE

Communiqué de presse - 23 juin 2015

Alerté par de nombreux médecins homéopathes du département de l’Hérault, le SNMHF manifeste sa stupéfaction devant les affirmations de la caisse primaire d’assurance maladie du 34 : les actes d’homéopathie, les prescriptions afférentes, ainsi que les actes d’acupuncture, seraient non remboursables en les qualifiant de « soins liés à la médecine naturelle » (sic !) et pratiqués par des « médecins exécutants» (resic !).

Cette initiative locale est parfaitement intolérable car elle est en totale contradiction avec la législation et les textes conventionnels en vigueur. Elle nie la reconnaissance accordée aux médecins homéopathes par le Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM) pour qui, nous vous le rappelons, la pratique de l’homéopathie est exclusivement médicale (rapport Lebatard Sartre).

Notre syndicat, représenté par sa vice-présidente, le Dr Dominique Jeulin Flamme, destinataire elle-même du courrier de l’Assurance Maladie locale, a été reçu ce jour par le Directeur de la CPAM de l’Hérault pour lui faire part de notre incompréhension.

A l’issue de cet entretien, le SNMHF a obtenu qu’une lettre rectificative soit adressée rapidement à l’ensemble des destinataires du courrier. Elle précisera le remboursement inchangé des consultations des médecins homéopathes et de leurs prescriptions. La caisse primaire d’assurance maladie reconnait son erreur. A signaler que les actes d’acupuncture eux aussi visés sont bien sûr toujours remboursés.

Notre vigilance et notre réactivité sont constantes pour la défense de notre expertise de médecin homéopathe.

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COMMUNIQUE DE PRESSE - 7 AVRIL 2015

                                         
DEMANDE DE RETRAIT DU PROJET DE LOI DE SANTE
LETTRE A MADAME LA MINISTRE MARISOL TOURAINE



Communiqué de presse - 7 avril 2015

Le syndicat national des médecins homéopathes français, SNMHF, vous fait part de la lettre qu’il a adressée à Madame la Ministre Marisol Touraine ce jour.

L’objet de cette lettre est de demander le retrait du projet de loi de santé afin de prendre le temps de réelles concertations avec l’ensemble des professionnels de santé.

Lettre à Marisol TOURAINE

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COMMUNIQUE DE PRESSE - 27 NOVEMBRE 2014

                                         
APPPEL A LA FERMETURE DES CABINETS DES MEDECINS LIBERAUX ENTRE NOEL ET JOUR DE L'AN


Communiqué de presse - 27 novembre 2014

Le SNMHF s’associe  au mouvement de grève des médecins libéraux et lance un appel à la fermeture des cabinets des médecins homéopathes du 24 au 31 décembre 2014.

Incontestablement, le projet de loi de santé de Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, crée l’unanimité des syndicats des médecins libéraux contre lui.

Ensemble, nous dénonçons :

- Le libre choix du médecin désormais gravement menacé.

- Le tiers payant pour tous, à la charge de la profession, imposé.

- Le contenu de l'acte médical déshabillé.

- L'installation des médecins encadrée.

- Le médecin généraliste déconsidéré.

- La valeur du C, inamovible à 23 € depuis des années, dévaluée.

Il faut cesser d’assassiner la médecine libérale !

Contact médias

Dr Dominique JEULIN-FLAMME, Présidente du Syndicat national des médecins homéopathes français (SNMHF) : 0616556615- Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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COMMUNIQUE DE PRESSE - 27 MAI 2014

                                         
CONTRATS RESPONSABLES
LE MEDICAMENT HOMEOPATHIQUE DANS LE PANIER DE SOINS

Communiqué de presse - 27 mai 2014

Le Syndicat national des médecins homéopathes français entend dénoncer la discrimination dont le médicament homéopathique fait l’objet dans le projet de décret modifiant les contrats d’assurance-maladie complémentaires, bénéficiant d’aides fiscales à l’acquisition.

Ces contrats dits « responsables » correspondent à « un panier de soins minimum » qui doit être garanti aux souscripteurs par les mutuelles et les assureurs complémentaires en échange des aides fiscales. Or, le projet de décret inclut, dans le panier de soins, l’obligation de remboursement du ticket modérateur de tous les produits et prestations de soins à l’exception de quelques uns dont le médicament homéopathique.

 

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COMMUNIQUE DE PRESSE - 13 MARS 2014

                                         
MEDECINS A EXPERTISE PARTICULIERE
HALTE A LA DISCRIMINATION

Communiqué de presse - 13 mars 2014

Le Syndicat national des médecins homéopathes français ne peut pas rester silencieux face aux manœuvres visant à marginaliser les Médecins à expertise particulière (MEP) à travers le refus – systématique – de certaines commissions départementales de qualification de leur accorder la qualification de spécialiste en médecine générale et les prises de position d’une organisation de les exclure du champ de la médecine générale.

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COMMUNIQUE DE PRESSE - 4 MARS 2015

                                         
TOUS LES MEDECINS HOMEOPATHES A PARIS LE 15 MARS



Communiqué de presse - 4 Mars 2015

SEULE UNE MOBILISATION MASSIVE DES PROFESSIONS MÉDICALES FERA FLÉCHIR LE GOUVERNEMENT
REGROUPEMENT A 13H PLACE DENFERT ROCHEREAU SOUS LA BANDEROLE DU SNMHF

Nous sommes arrivés à un moment décisif pour notre exercice libéral :

 

Soit une très forte participation à la manifestation de tous les professionnels de santé, organisée à PARIS, le dimanche 15 mars prochain, parvient à faire fléchir le gouvernement, soit on nous imposera les modalités liberticides d'une loi de santé signant l'arrêt de mort de la médecine libérale et de notre pratique de médecin homéopathe.

 

La loi de santé de Marisol TOURAINE, c'est :

 
  • LE TIERS PAYANT GÉNÉRALISÉ OBLIGATOIRE,
  • L'ÉTATISATION COMPLÈTE DU SYSTÈME DE SANTÉ,
  • LE DÉMANTÈLEMENT DES COMPÉTENCES MÉdICALES, NOTAMMENT DES GÉNÉRALISTES,
  • LES GÉNÉRALISTES « PARQUÉS » DANS LE « SERVICE TERRITORIAL DE SANTÉ AU PUBLIC » quel sort sera réservé aux médecins homéopathes ?
  • L'HOSPITALO-CENTRISME AVEC DISPARITION COMPLÈTE DES SPÉCIALISTeS CLINIQUES LIBÉRAUX ET DONC DES SPÉCIALISTES HOMEOPATHES.

Nous exigeons le retrait pur et simple de cette loi et sa refonte complète, dans un esprit d'ouverture et de coopération avec les professionnels de santé. La Ministre de la Santé a organisé un simulacre de négociations, fortement contraint dans le temps, n'acceptant de modifications qu'à la marge et sans aucune garantie (modifications éventuelles intégrées dans des amendements). Certains syndicats médicaux s'obstinent encore à négocier ces miettes ! NOUS DISONS NON.

Lors de cette manifestation du 15 mars, une cinquantaine d’organisations syndicales de médecins généralistes, spécialistes, médecins à expertises particulières et professionnels de santé libéraux défileront ensemble pour ces mêmes objectifs.

Nous devons être plusieurs centaines de milliers de personnes dans la rue ! Et nous, médecins homéopathes, le plus grand nombre possible, réunis sous la banderole du SNMHF pour défendre notre exercice médical libéral et notre place de médecins homéopathes dans le parcours de soins !

 

CONTACT PRESSE :

Dr Charles BENTZ, Président

06.07.64.64.01

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COMMUNIQUE DE PRESSE - 29 JANVIER 2014

                                         
HOMEOPATHIE EN EUROPE
LA FERMETURE DE L'AUBERGE ESPAGNOLE ?

Communiqué de presse - 29 janvier 2014

Le Syndicat national des médecins homéopathes français organise, samedi 1er février, les 3e Assises du médecin homéopathe*, rendez-vous incontournable des médecins homéopathes pour une réflexion sur leur pratique médicale et sa place dans le système de santé.
Cette année, le temps fort de cette journée, sera le projet de définition de normes de pratique et de prescription de l’homéopathie lancé par la Commission européenne de normalisation.
L’homéopathie doit-elle être codifiée par des normes au risque d’y perdre sa spécificité – voire son âme - fondée sur l’individualisation de l’approche thérapeutique ?

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