2017, année de tous les dangers ?
2017, année de tous les dangers ?
Controversé dans certains pays, reconnu dans d’autres,
l’exercice médical de l’homéopathie s’imposera par la démonstration de son intérêt en santé publique.
Dans notre dernière newsletter, nous avons attiré votre attention sur le regain de critiques adressées à l’homéopathie, dans le cadre d’actions internationales, comme celle del’EASAC (European Academies Science Advisory Council), aréopage d’académies des Sciences de pays européens, qui a dénoncé « l’absence de preuves de l'efficacité des médicaments homéopathiques » et voulu jeter le discrédit sur l’ensemble de notre pratique.
Au mois de décembre, nous avons appris la confirmation d’une information en réalité déjà connue depuis l’été : le NHS England, autrement dit le système de Sécurité sociale britannique, cesse de prendre en charge des traitements « de basse valeur clinique » comme l'homéopathie (et au passage aussi certains compléments alimentaires). Le magazine Que choisir Santé n’a objectivement pas tout à fait tort de pointer dans son numéro de décembre 2017 que « pour l'homéopathie, les temps sont durs. »
2017 restera aussi, heureusement, comme l’année où un autre pays voisin, la Suisse, a fait le choix inverse. La médecine anthroposophique, la médecine traditionnelle chinoise, l'homéopathie et la phytothérapie, qui étaient prises en charge à titre provisoire depuis 2012, au même niveau que la médecine classique, sont désormais ancrées dans le droit.
L’année 2017 a également vu émerger une communication positive sur l’étude EPI3. Rappelons que cette étude pharmaco-épidémiologique, réalisée en France auprès d’une cohorte de patients jamais égalée, a montré qu’il n’existait aucune différence significative entre les deux populations de malades, tant en termes de gravité de leur pathologie lors de la prise en charge que de résultats, quelle que soit la thérapeutique utilisée… Avec deux éléments non négligeables pour la santé publique : la pratique médicale homéopathique se révèle sans danger, et d’autre part un patient qui consulte un médecin homéopathe revient à 35 % de moins à l’assurance maladie (consultation et prescription comprises).
Ce succès croissant de notre méthode, cette avancée tranquille, est peut-être ce qui dérange le plus ceux qui en aucun cas n’accepteront que des voies complémentaires fassent progresser la médecine et la santé de nos patients.
<<< On aime : à gauche, extrait du numéro Hors-série Médecines Douces de TOP Santé (décembre 2017) avec un dossier de 15 pages sur l’homéopathie. Lecture conseillée à vos patients !
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