13ème Assises du médecin homéopathe
SAVE THE DATE
JEUDI 13 MARS 2025
13è Assises du médecin homéopathe en visioconférence
Notez déjà cette date dans votre agenda
Le programme et le bulletin d'inscription vous parviendront très rapidement
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Cher(es) ami(es),
L’année 2024 a vu la nomination d’une nouvelle ministre de la Santé en la personne du docteur Geneviève DARRIEUSSECQ, allergologue, député centriste des Landes. Nous lui avons envoyé nos vœux de réussite.
Nous l’avons informée de la formidable étude du Professeur Michael Frass qui prouve l’efficacité de l’homéopathie dans la durée de survie des patients atteints de cancer pulmonaire non à petites cellules.
Forte de ces avancées dans la recherche en homéopathie, je fonde l’espoir que notre ministre aura à cœur de réintroduire une initiation à l’homéopathie durant les études de médecine pour inciter les jeunes médecins à se former grâce au DIU d’homéopathie.
L’homéopathie reste une alternative à la prescription médicamenteuse lourde chez les personnes de plus de 65 ans lors d’une consultation longue qui pourra désormais être cotée à 60 euros à partir de 2026.
En Europe, le monde des médecins homéopathes reste très actif grâce à l’ECH qui a tenu son congrès annuel à Séville en octobre.
Dans le monde, nous restons très soudés avec la ligue mondiale LMHI, afin de traverser cette période qui bouscule les médecins que nous sommes, attachés à leur diplôme de docteur en médecine et fiers de prescrire de l’homéopathie lorsque nous jugeons qu’elle est utile pour nos patients.
Ce d’autant plus que l’OMS veut promouvoir l’accès de tous les peuples à une médecine efficace et peu onéreuse.
Pour toutes ces raisons, le SNMHF est la structure qui vous défend au plus haut niveau et défend les valeurs de l’homéopathie pour qu’elle subsiste pour les générations futures.
Merci de nous soutenir en adhérant.
Bien confraternellement.
Florence Paturel – Présidente du SNMHF
Nous savons tous que La recherche en homéopathie se confond encore aujourd’hui avec l’histoire de l’homéopathie et que nombreuses sont les publications parues depuis des décennies sur le plan national et international qui attestent de l’efficacité de sa thérapeutique.
Cela ne désarme pas pour autant les adeptes d’une pensée empreinte de sectarisme qui font de leur ignorance une vertu sentencieuse. Peu importe d’ailleurs ! Au fond, la pensée est libre mais ce qui est plutôt surprenant au travers de ces jugements erronés, pour ne pas dire bornés, concernant l’homéopathie, c’est le culte de la négation des faits objectifs qu’ils véhiculent et le manque de motivation de leurs auteurs à se documenter sur la réalité d’action de cette thérapeutique avant de la qualifier de croyance ...
Ce sont les mêmes qui étaient déjà visés par une réflexion du Docteur Mendel en 1920 qui écrivait :
« O rigueur scientifique ! Nous te saluons au passage ; toi par laquelle il fut démontré que la terre ne tournait pas, que le sang ne circulait pas, que le téléphone était une impossibilité, comme le Daguerréotype et le phonographe, et la navigation vapeur, et les chemins de fer, et la direction des ballons, et l’éclairage au gaz, etc.… »
Nous tous, médecins généralistes ou spécialistes avons fait le choix, outre notre formation universitaire initiale, de nous former à cette expertise singulière riche d’enseignement et de succès dans notre pratique. Nous mesurons à quel point l’exercice de la médecine, avant d’être regardé comme un art ou une science, implique d’abord une connaissance de l’individu malade avec une vision holistique de sa santé qui s’appuie sur une excellence séméiologique déterminante et qui signe de façon incontournable la valeur de l’homéopathie.
En tout cas, oui, la recherche en homéopathie existe !